L’ancien Ministre Canadien de la Défense et Député du temps de Pierre Trudeau a rejoint les rangs de trois organisations non gouvernementales pour demander au Parlement du Canada de tenir des audiences publiques sur les Exopolitiques, concernant les ETs. Le 25 septembre 2005, dans un discours surprenant à l’Université de Toronto qui a attiré l’attention des principaux médias, Paul Hellyer, Ministre National de la Défense du Canada de 1963-67 sous le Premier Ministre Lester Pearson, Lauréat du Prix Nobel de la Paix, a déclaré publiquement : « Les OVNIs sont aussi réels que les avions qui survolent votre tête ». Interview, du 30 décembre 2013,
Selon des notes diplomatiques américaines divulguées par Wikileaks et visibles mercredi 29 décembre sur le site du quotidien espagnol El Pais, près de 30 millions d'euros auraient été détournés de la Banque des Etats d'Afrique centrale (BEAC) à son profit par le défunt président gabonais Omar Bongo. Une partie de ces fonds aurait aussi profité à des partis politiques français.
Cette information a été donnée quatre jours après la mort de M. Bongo, en juin 2009, par un haut fonctionnaire de la BEAC à un diplomate de l'ambassade américaine au Cameroun, précise le journal. Selon la même source, "les dirigeants gabonais ont utilisé les fonds détournés pour leur enrichissement personnel et, suivant les instructions de Bongo, ont remis une partie de l'argent à des partis politiques français". L'argent aurait profité "aux deux camps, mais surtout à droite, en particulier à Chirac mais aussi Sarkozy".
"DES MALVERSATIONS ENCORE PLUS LARGES"
Selon le câble datant de juillet 2009, le gouverneur de la BEAC, le Gabonais Philip Andzembe, avait placé en secret 500 millions d'euros dans un investissement à haut risque de la banque française Société générale.
Après que ce placement non autorisé eut été rendu public, un audit de la BEAC a été mené et "a révélé des malversations encore plus larges et plus audacieuses, liées à la hiérarchie des officiels gabonais", a indiqué le fonctionnaire à l'origine de cette information. "L'enquête interne a montré que 36 millions de dollars (environ 28 millions d'euros) ont été détournés via des chèques à des hauts responsables du Gabon", a-t-il dit.
ENQUÊTE EN COURS
Le clan au pouvoir au Gabon, "dont le défunt président Omar Bongo et son fils Ali, ministre de la défense et candidat à la présidence (élu depuis à la tête du pays), a bénéficié du détournement de fonds", indique le document.
"Cette ambassade n'est pas en mesure de vérifier la véracité de l'accusation selon laquelle des hommes politiques français ont bénéficié du détournement de fonds", se contente de conclure le câble, signé de l'ambassadrice américaine au Cameroun à l'époque, Janet Garvey. Une enquête est en cours en France sur le patrimoine dans l'Hexagone de trois présidents africains et de leurs proches, dont Omar Bongo, à la suite d'une plainte de Transparency International, une ONG spécialisée dans la lutte contre la corruption.
Monsieur Juppé Alain, ministre de la défense, regnirait-il ses convictions. C'est quand même curieux, lui qui dit avoir un franc parlé, de se taire à propos de l'OTAN alors que sur son blog , il critiquait ce commandement militaire (voir ci-dessous)... Incohérent l'ami Juppé.
Il y a sept mois, à propos de l' Afghanistan, Alain Juppé qualifiait ce conflit de "bourbier terrible" et "d'impasse". Nicolas Sarkozy, lui, a affirmé qu'il faudrait rester en Afghanistan "aussi longtemps que nécessaire".
Voici la Tribune que j'ai rédigée pour Le Monde sur l'Otan et qui figure dans l'édtion du samedi 21 février:
" La France a-t-elle intérêt à réintégrer en 2009 le commandement militaire de l'OTAN qu'elle a quittée en 1966 ?
La question n'est pas sacrilège. Nul ne sait comment le général de Gaulle y répondrait aujourd'hui. Sinon qu'il se déterminerait à la lumière du seul intérêt national.
C'est dans cet esprit qu'en 1995, le président Chirac et le gouvernement que je dirigeais ont engagé un processus de rapprochement entre la France et l'OTAN. Nous y avions mis deux conditions clairement énoncées : d'abord parvenir à un partage équitable des responsabilités, c'est-à -dire des commandements, entre Américains et Européens ; ensuite obtenir de nos partenaires européens le lancement d'une politique européenne de sécurité et de défense (PESD) qui en soit une, ce qui supposait à la fois une volonté réelle de leur part et la levée de la réserve, voire du veto américain.
A l'époque, ces conditions ne furent pas remplies et la démarche fit long feu.
Depuis lors, les choses ont changé. En 1998, à Saint-Malo, Jacques Chirac et Tony Blair se sont mis d'accord sur une déclaration qui débloqua la situation. Ils y ont affirmé que l'Union européenne « doit avoir une capacité autonome d'action, appuyée sur des forces militaires crédibles, avec les moyens de les utiliser et en étant prête à le faire afin de répondre aux crises internationales ». Ce fut un tournant historique.
Tout au long de la décennie qui a suivi, la PESD a connu de notables avancées. De 1999 à 2000, les conseils européens de Cologne, Helsinki et Feira ont pris des décisions qui ont abouti à la mise en place de structures communes.
A Bruxelles en 2003, l'Union a adopté sa stratégie de défense. Et surtout de 2003 à 2008, elle a monté 23 missions sur des théâtres extérieurs dont 6 opérations militaires significatives par exemple en Bosnie-Herzégovine ou en République démocratique du Congo.
On comprend dès lors que le président Sarkozy, dans la droite ligne des efforts accomplis depuis 1995, reprenne aujourd'hui l'initiative.
Est-ce à dire que les conditions posées au départ et qui demeurent valables sont désormais remplies ?
Il faut y regarder à deux fois.
La nouvelle Administration américaine est-elle prête à partager réellement les responsabilités militaires au sein de l'Alliance ?
En d'autres termes, les commandements qui échoiront aux Européens et notamment aux Français auront-ils la même importance stratégique que ceux qu'exercent les officiers généraux américains ? On n'y voit pas encore assez clair sur ce premier point.
Quant à la défense européenne, il lui reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir pleinement crédible.
L'agence européenne de la défense créée en juillet 2004 pour promouvoir la recherche-développement de défense et les acquisitions d'équipements militaires en coopération, n'a pas donné les résultats attendus. L'objectif capacitaire initial fixé à Helsinki en 1999, c'est-à -dire la constitution d'une force de réaction rapide européenne capable de déployer 50 à 60 000 hommes en soixante jours et pour une durée d'au moins un an n'a pas été atteint. L'effort de défense moyen des Etats membres plafonne à 1,07 % du PIB européen. Et parmi les grands pays, seule la Grande Bretagne atteint le seuil des 2%.
Avons-nous dès lors les moyens de nos ambitions ? J'ajouterai, sans esprit de provocation : avons-nous seulement des ambitions ? Partageons-nous la même vision des intérêts européens au sein de l'Alliance. Et que voulons-nous faire de cette Alliance ? Le monde actuel ne ressemble en rien à celui où elle est née. Conçue dans un contexte de confrontation entre les blocs, soviétique d'un côté, occidental de l'autre, elle doit aujourd'hui redéfinir sa raison d'être, ses missions, son territoire d'action. La vision qu'en a l'Amérique n'est pas forcément identique à celle des Européens et notamment des Français.
On me répondra que notre pays a déjà fait les neuf dixièmes du chemin sur la voie de la réintégration. Que nous siégeons à nouveau dans toutes les instances de l'OTAN (sauf deux créées après notre départ). Que nous sommes devenus l'un des premiers contributeurs en troupes de l'Alliance. Que nous avons participé sous commandement OTAN aux opérations contre la Serbie en 1999. Que nous avons placé une centaine d'officiers dans la structure intégrée et que nous participons à la force de réaction rapide de l'Organisation.
L'argument est fort.
Mais on peut se demander s'il n'est pas réversible.
Si, malgré notre position spécifique dans l'OTAN, nous en sommes un membre si actif, quel avantage allons-nous retirer à perdre cette spécificité ?
Une influence accrue dans l'Alliance ? Nous y pesons déjà lourd et toutes les décisions s'y prennent à l'unanimité.
De la considération de la part de nos alliés américains ? Sera-t-elle durable dès lors que leurs propres intérêts seront en jeu ?
Une solidarité accrue de nos partenaires européens et une relance effective de la PESD avec, notamment, la création d'un commandement militaire opérationnel ? Nous voyons bien qu'ils ne partagent pas tous notre volonté d'autonomie ; je conviens que nous aurons peut-être plus de poids pour mettre en oeuvre une coopération renforcée ou structurée avec ceux qui en ont les moyens et l'ambition.
Qu'en conclure ? Qu'il y a, d'ici le sommet de l'OTAN prévu à Strasbourg début avril, place pour un débat de fond sur un choix qui engage l'avenir de la France."
Alain Juppé
Dans un Charlie hebdo (de MAI 2008, pas tout jeune mais qui est toujours d'actualité), l'article "Sarkosy fait se marrer les Hongrois" nous apprend de bien belles choses sur notre petit grand-homme-que-le-monde-entier-nous-envie.
Lancés dans une grande enquête d'investigation , les journalistes de ce prestigieux hebdo sont allés voir les ressortissants hongrois vivant dans notre beau pays afin de trouver la réponse à cette épineuse question : que signifie "Sarkosy", notre héros étant, comme chacun sait, d'origine magyare.
He bien, la réponse n'est pas piquée des hannetons.
On apprend d'abord que son nom se prononce "char-kà-sy" en hongrois et signifie littéralement "dans la boue".
Il proviendrait de la ville hongroise de Sarkàse, bâtie effectivement sur des marécages, le "y" final indiquant une origine noble (son nom complet est en fait Sakosy (de) Nagy-Bocsa).
Si son papa n'avait pas quitté la Hongrie en 1946 ou 1947 lors de l'instauration du régime communiste, notre phare de la pensée serait peut-être aujourd'hui un hobereau hongrois vivant confortablement des revenus de son domaine; dès lors, on comprend mieux qu'il ne soit que modérément gauchiste, sauf quand il s'agit de faire référence à Jaurès et Blum dans le vain espoir de grappiller quelques voix à gauche...
Mais ce qui fait le plus marrer les Hongrois interrogés, c'est la prononciation de son nom à la française : "Sar-ko-sy". En effet, le phonème "Sar" signifie "merde" en hongrois (qui s'écrit en fait "szar" ). Et l'on apprend que "Sarkosy", prononcé à la française, signifie littéralement "dans la merde" en hongrois... Véridique !...
L'abordage fin mai par la marine israélienne d'une flottille en route pour Gaza constitue une "violation grave des droits de l'homme" et une utilisation "inacceptable de la brutalité", estime la mission d'enquête du Conseil des droits de l'homme de l'ONU dans un rapport publié mercredi 22 septembre. Selon ce document, des "preuves claires" existent permettant d'"appuyer des poursuites" contre Israël.
"Il y a des preuves claires permettant d'appuyer des poursuites pour les crimes suivants (...) : homicide intentionnel, torture ou traitements inhumains, fait de causer intentionnellement de grandes souffrances ou des blessures graves", écrivent les experts dans le rapport. "Les auteurs des crimes les plus graves ayant été masqués ne peuvent pas être identifiés sans l'assistance des autorités israéliennes", soulignent-ils. Ils demandent ainsi au gouvernement d'Israël de coopérer pour permettre leur "identification en vue de poursuivre les coupables".
"NIVEAUX DE VIOLENCE INCROYABLES"
"La conduite des forces armées d'Israël (...) vis-à -vis des passagers de la flottille (...) révèle un niveau inacceptable de brutalité" et s'est traduite par de "graves violations des droits de l'homme et du droit international humanitaire", écrivent les experts dans leurs conclusions. Ils considèrent qu'Israël a agi de façon "non seulement disproportionnée dans les circonstances" ayant alors prévalu, mais a également recouru à "des niveaux de violence totalement inutiles et incroyables".
Betancourt, Bettencourt, (curieux non?) ces noms pourrissent décidément la France...
Encore une tâche qui ne pense qu'au fric. Elle aurait mieux fait de rester en Colombie. Attitude débile et on se permet de garder "çà " en France. Qu'elle reste aux Etats-Unis...
De plus que sont devenus les autres otages dont elle a rien à faire...
L'ancienne otage réclame 6,5 millions de dollars de dommages-intérêts à l'Etat colombien à titre de compensation pour les effets traumatiques et les pertes de revenus liés à sa captivité dans la jungle. Ben voyons!!!!
De plus, le ministère colombien a déclaré en outre que l'ex-otage a passé outre les recommandations des forces de l'ordre qui avaient tenté de la dissuader de se rendre à San Vicente del Caguan (département de Caqueta), voyage terrestre durant lequel elle a été enlevée.
De toute façon, elle savait que c'était dangereux et qu'il y avait un risque, qu'elle assume son comportement...
Heureuse pour les colombiens qu'ils ne l'ont pas eu comme présidente.